• J'entends qu'il s'agit d'une partie de mon existence. Dès lors n'obéissant à personne, je n'appartiens plus à rien. J'abandonne toute part de ce qui constitue mon présent. Je bois un dernier verre pendant l'occurrence de mon dernier spleen. Tout ira bien, je m'en vais, bien. Dans le dommage, je n'entame qu'une dernière phase ; celle éternelle. Après, voilà ce qui constitue l'incompressible existentiel : rien. Je ne veux plus, je ne jouis plus, je n'existe plus. Des cendres, une vraie nuée, c'est ce qu'il reste de nous. Je n'en ferais rien. J'attends patiemment l'once d'un mieux.


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires